« Regards croisés d’Orient et d’Occident : Victor Segalen et la Cité interdite »
Les « palais » de la « Cité Violette interdite » de Victor Segalen, « centrale », réservés à l’Empereur et habités « d’eunuques et de porcelaines » constituaient un monde à part, un monde clos séparé du monde vulgaire par la « muraille rouge » et son « carré ».
Ils furent les lieux symboliques d’un pouvoir impénétrable, mais fascinant aux yeux de l’occidental habitué aux fastes lumineux de Versailles.